Couverts et boutiques
Couverts et boutiques

Au service de la ruralité

Depuis le XVIII° siècle, Sauveterre connaît un lent et continu déclin économique. Celui-ci n'est freiné que par la capacité des sauveterrats à chercher dans l'artisanat la source de nouvelles activités. Elles permirent de vivre un temps, grâce au soutien d'une clientèle qui dépassait largement les limites de la bastide. 

 

Mais ces activités ne furent jamais développées à un niveau tel qu'elles puissent assurer le développement de la cité.

Au milieu du XIXe siècle, les cotonnades industrielles vont étouffer les cultures de chanvre et de lin ainsi que « le grand nombre de tisserands et les quelques fabriques de linge de table, d'étoffes et de chapeaux » signalées par Alexis Monteil au début du XIXe siècle.

Puis, au XXe siècle, ce fut le tour des artisans de la métallurgie (ferblantier, cloutier...) et des artisans de l'habillement (sabotier, chapelier, couturière...) d'arrêter leurs activités quand les produits industriels arrivèrent en masse.

Dans la deuxième moitié du XXe siècle, les travaux d'amélioration de l'habitat permirent l'installation de nouveaux artisans : maçon, plâtrier, couvreur, électricien, plombier...

 
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